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Le seul moyen de se délivrer d'une Tentation, c'est d'y céder.
Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit.
[Oscar Wilde]

 
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 The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]

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Lucie M. Winston Kylerman
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MessageSujet: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeVen 28 Mai - 19:44
The
coldness of the night
PV : Oz Fantasio



Il fait froid.



    Voici la seule pensée que mon cerveau me communique. Pourtant, et je ne m’en plains pas, je ne suis ni Sans Domicile Fixe, ni en panne de chauffage ! Mais je ne sais pourquoi, mon corps est secoué de tremblements et mes dents claquent entre elles sans que je puisse faire une seule tentative pour arrêter ceci. Et ce n’est pas la peur.
    Dans mon lit, il y a mon chat « Rising » et quelques doudous. Cependant, je ne suis pas une de ces petites filles à qui le seul morceau de noir fait peur. Non, je ne suis pas comme ça. La preuve ? Je ne sais si elle vous suffit mais … En ce moment même, je suis dans ma chambre, dans mon lit plus précisément, seule dans ma maison de trois étages. Oui, vous avez bien compris, j’ai bien dit « seule ». Ma gouvernante a dû me laisser seule cette nuit pour aller voir son père, ce dernier étant gravement malade. Ma mère ? Elle doit être à Paris, à moins que ce soit à Hong Kong, je ne sais plus trop. Ne me demandez pas quelle est son travail, je ne sais pas. « C’est quelque chose d’assez vague » m’a-t-elle dit, un jour, quand j’ai osé lui demander. En gros, cela voulait dire, dans son langage : « Je n’ai pas envie de t’expliquer cela aujourd’hui ». Voilà, c’est ça ma maman. Vous êtes déçu hein ?! Vous auriez cru que j’avais une vie formidable, une maman qui me préparait plein de bons gâteaux … Et bien non. C’est pour ça que j’évite d’en parler. Parce que les gens ne s’intéresseront plus à moi après. Et ça, moi, je ne veux pas que ça arrive. Sinon, je serais définitivement seule, seule avec ma gouvernante.
    Enfin, je réussi à faire un mouvement : j’allumai ma lampe de chevet et, à la vue de cette lumière, mon corps commença à se réveiller de son espèce de « transe » dans lequel il était plongé. Je retrouvai le contrôle de mon corps, même si cette froideur en moi, ne me quittant pas, m’empêchai d’arrêter ces claquements de dents incessant.Je descendis les escaliers pour arriver dans la cuisine. La froideur du carrelage sous mes pieds n’arrangea pas ma froideur. En ouvrant le frigidaire, je me rappelai les paroles de la gouvernante « Quand je rentrerai, demain matin, j’irai faire les courses au supermarché. Je ne pense pas que tu auras besoin de quelques choses, mais, si c’est urgent, ou que je ne suis pas encore rentrée quand tu te réveilles, va emprunter ce besoin chez la voisine, d’accord ? » En regardant l’horloge, je m’aperçus qu’il était déjà minuit. Je n’allais pas déranger la voisine à une heure pareil, surtout pour du jus d’orange ! J’attrapai donc un verre et ouvris le robinet d’eau froide. Je dégustai lentement mon verre, laissant le liquide descendre le long de ma gorge.




[ Sorry, après un long moment sans RP, je suis un peu rouiller --" ]


Dernière édition par Lucie M. Winston Kylerman le Lun 30 Aoû - 18:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeVen 28 Mai - 20:26
    Je vous le dis, ça sert à rien. Mais vraiment à rien. De quoi ? De vous expliquer ce que Oz fout dehors aux alentours de minuit. C’est comme ça. IL est comme ça. Non, je vous enlève déjà une suggestion : Oz Fantasio ici présent ne s’est pas pris la moindre cuite. Quoique… En le regardant marcher comme ça (imaginé quelqu’un qui marche pas droit, en diagonale quoi, qui fait des zigzag) on pourrait penser que… mais non. Parce-que Oz marche TOUJOURS comme ça. Laissez tomber, ça sert à rien de chercher à comprendre, c’est comme ça. Point final.

    Donc, nous disions… Ah oui. Oz était donc en train de marcher (ou de danser, à vous de voir) sur les trottoirs de la ville. La nuit avait déjà étendu son voile bleuté, et la lune souriait, toute entière, dans le ciel. Son halo luminescent enveloppait Oz d’une douce lumière phosphorescente. Ce qui était assez… effrayant. En effet, Oz avait le visage fatigué (je vous expliquerez plus bas pourquoi), donc des cernes pas possibles, donc le blanc des yeux injectés de sang, donc des paupières lourdes, donc un teint monstrueusement blafard, donc avec le contraste de la lune : le tout était plutôt fantomatique et morbide.

    Bon revenons sur le fait que son visage soit totalement lessivé. Vous devez savoir que Oz à un sens désastreux, déplorable, affligeant, mortifiant… de l’orientation. Il n’en a pas le moindre sens. Ce matin, notre cher Oz, s’est mis en tête d’aller explorer la ville. Il est donc partis d’un bon pas, joyeux et gai. Ahaha. La bonne blague. Depuis ce matin huit heure tapante, il erre dans les méandres de la ville, à la recherche de sa propre maison. Attention hein, Oz s’est quand même arrêter à cinq heure dans un café pour prendre son thé. Enfin toujours est-il, qu’il marche, marche depuis des bières… Quoi ? Ça se dit pas ? C’est pas grave, quand on parle d’Oz, tout se dit. Il faut quand même ajouter qu’il est passer devant sa boutique (qui lui sert de maison) il y a à peu près une demi heure. Et qu’il ne la pas reconnue. J’ignore ce qui trouble l’esprit d’Oz à ce point… Car même si son sens de l’orientation est sans commentaires, rater sa boutique/maison… Enfin, il finira bien par la retrouver, durant un éclair de lucidité… Ce ne doit pas être la première fois que cela arrive…

    Bref, revenons en au décor dans lequel Oz à atterri.

    Oz était en train de fouler le béton du quartier des résidences. Tel un majestueux (et stupide ?) zombi, il s’avançait à travers la rue. Maintenant, il ne dansait plus vraiment. C’était plutôt des pas lents… Le sol dur céda soudainement place à une chose molle. Il avança donc un moment dans cette chose non identifiée en pensant «On dirait de la pâte à brownies… » (là je crois qu’Oz divague plus que d’habitude, il doit vraiment être sur les rotules…). Puis enfin, il a l’idée de regarder par terre. Avec une lenteur infinie, il baissa les yeux vers le sol et remarqua qu’il marchait dans de la boue. Il revint docilement sur le trottoir, quittant la « pâte à brownies » sans plus d’expression, et il continua son chemin dans un joyeux bruit de « splash », semant gaiement de la boue un peu partout.

    Quelques minutes plus tard ~

    Il semblait évident qu’Oz avait atteint les un de tension. Il faisait un pas toutes les trois minutes, en poussant des joyeux « gaaaaa… maaaaa… tooooo… ». Vraiment, je ne l’avais jamais vu divagué autant. Son cerveau devait certainement s’être mis en mode économie, er ne pensait plus que par onomatopées et avait tout juste assez de lucidité pour faire fonctionner les organes vitaux. Allons bon. Il était désormais sûr et certain qu’Oz allez mettre les pieds dans un pétrin inimaginable. Avec plein de grumeaux. Donc dans la pâte à crêpes. Bon d’accord, j’arrêtes mes blagues à deux balles ; il semblerait que l’arrêt des neurones logique d’Oz soit contagieux.

    Le silence de la nuit était seulement rompu par la Gaaaamaaaatooooophonie de Mr. Fantasio. Ouais… cela risquait de duré un bout de temps. Il était assez loin de sa boutique, et il risquait sans doute de s’endormir quelque part (sur la route, le connaissant) et se réveillé en pleine forme au milieu de policiers passablement énervés, qui allaient lui dire que c’était pas une bonne idée de s’endormir en plein milieu de la route. De un, ça bloquait le trafic, et de deux, il risquait un peu beaucoup de se faire rouler dessus. Et d’avoir la tête salement amochée. Au mieux. Bref, après il serait parti en les accusant d’être des rabat-joies. Mais nous n’en sommes pas encore là. Revenons-en à notre Oz totalement crevé.
    Il ne se passait rien de bien passionnant lorsque les globes oculaires d’Oz s’arrêtèrent sur un pot de fleur.
    Il s’arrêta et se mit à le fixer.

    C’est bon. C’est fini. Oz a bloqué sur ce pot de fleur. Et c’est partis pour les emmerdes. Voyons voir quelle bêtise va-t-il faire…

    Nous nous retrouvons donc en compagnie d’Oz devant une belle villa au design moderne. Mais cela, on s’en fiche, passons au pot de fleur qui avait reçut l’attention d’Oz. C’est un pot rouge de géraniums roses.
    L’information monta lentement au cerveau d’Oz. Il articula d’une voix pâteuse :

    « Géranium rouges… pots rose… »

    Mouais. Bon d’accord c’est l’inverse. Mais on s’en fiche, ce que Oz dit on doit pas contredire. Ce n’est donc plus un pot rouge, mais rose, et les géranium ne sont plus roses, mais rouges.
    Ding, ding, DIIIIIING !
    Une ampoule venait de s’allumer dans le cerveau d’Oz. Adieu fatigue, bonjour neurones ! Nous voilà donc avec un Oz absolument requinqué dans les mains. C’est dingue le pouvoir des plantes.
    Mais bon, ça ne va pas. Mais absolument pas. Ces fleurs et ce pot sont absolument horribles. C’est d’une mocheté atroce. Et c’est pas moi qui le dit, mais Oz.
    La mine furieuse, il comptait bien en faire part au propriétaire. Oh que oui. C’est une indignation d’exposer une telle horreur ! (toujours d’après Oz).

    C’est donc d’un pas ferme et décidé, que notre ami légèrement barge, s’en alla à la porte d’entrée, et tambourine contre le panneau de ladite porte. Et il comptait bien tambouriner le temps que l’on viendrait pas lui ouvrir. Oui oui. En pleine nuit. A minuit. Pour un pot de géranium.


[Mais non, c'est bien^^ Par contre, désolé pour mon post s'il y a des fautes d'ortho... Je les voit jamais toutes... & En espérant que ça te plaise ♥️]
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Lucie M. Winston Kylerman
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeSam 29 Mai - 23:41
« Pourquoi, Maman, tu n'es jamais là, même le week-end ? »
« Tu sais ma chérie, tout le monde ne s'arrêtent pas de travailler, même le week-end ! »
« Oui maman, je sais ceci, mais je sais aussi que les gens ne travaillent JAMAIS le jour de Noël, le jour du premier de l'an, et toute autres jours fériés ! »
« Tu sauras, un jour, que je ne suis pas ' les gens ' ma petite, non, je ne suis pas les autres personnes. Personne ne peut me ressembler, personne ne peut avoir le même travail que moi, c'est impossible … »


    Mais quel est le travail mystère de la fameuse maman de Lucie ??!! Eh bien, Lucie et moi, nous n'en n'avons aucune idée à vrai dire … On ne sait pas grand chose sur elle, mis à part son aspect physique, évidemment !
    De caractère plutôt calme, Béatrice, c'est comme ceci qu'elle s'appelle, est aussi très lunatique ! Vous voulez un exemple ? Non ? Et ben on va dire que vous avez dit oui et que je vais vous en donner un : Un jour, si vous la rencontrez dans la rue, bien que se soit quasi-impossible à Resway vu qu'elle n'ai jamais là (elle n'a encore jamais vu sa maison !) et que vous ne la connaissez pas spécialement, ne lui dîtes pas bonjour ! Ce n'est pas que c'est une psychopathe, mais .. Bien sur, au début, elle vous rendra votre politesse. Mais, après, avec le recule (son recule étant d'à peu près cinq secondes après son' Bonjour '), elle va vous crier dessus comme une forcenée, vous disant, dans son baragouinage bien à elle, que vous n'êtes qu'un psychopathe, que se n'est malheureusement plus normal que les gens disent bonjour à d'autres personnes qu'ils ne connaissent ni d'Adam ni d'Eve, bref, elle va vous faire un bourrage de crâne qui va certainement se terminer en un sacré mal de tête ! Bref, je crois que je me suis égarée de notre sujet : Lucie.

    Lucie sursauta quand elle entendit qu'on tambourinait à sa porte. S'il continuait, ce malade allait la défoncer !! La petite se leva comme un automate pour aller ouvrir la porte à ce malade. Ce mot fut comme un déclic dans sa petite tête. Un malade !! Lucie n'allait quand même pas ouvrir sa porte à n'importe qui, surtout qu'elle était seule ! Et si c'était un voleur ? Bon d'accord, il n'était pas très discret mais bon … On ne sait jamais avec les gens de notre époque !! Lucie réfléchissait. Comment allait-elle faire ? Elle n'en n'avait aucune idée et ça l'angoissait un tant sois peu. Plongée dans ses pensées, Lucie n'entendit pas les plaintes des voisins face à se tapage incessant. Se retrouvant face à une impasse, le cerveau de Lucie se re-concentra sur les bruits. Ne supportant soudain plus tous ces bruits, elle continua son chemin vers la porte, défit les deux tours des clefs et ouvrit en grand la porte, excédée. D'un air très ronchon, elle découvrit, accompagnée d'un hurlement horrifiée, un garçon très bizarre. Il avait un haut-de-forme noir, portant une étiquette où figurait la mention « 10/6». La poche de sa veste était bondée, prêt à exploser. Cette même veste était d'ailleurs d'un rouge rayée, que même la gouvernante, et ce n'est pas pour être méchante, de Lucie n'aurait pas osé porter. Ses doigts étaient gantés, sa peau étaient d'une blancheur alarmante et sous ses yeux, on aurait pu y loger une maison toute entière tant ses poches de cernes étaient grandes. Vous avez vus, je suis bonne en humour hein ?? Trêve de plaisanterie, retournons à nos moutons. Enfin, plutôt à la descriptions d'Oz. Ses cheveux étaient coupés au carré, d'un châtain banal, qui n'allait pas vraiment avec son style vestimentaire, tout comme ses yeux. Ses yeux sont brun/noir, bien que Lucie ne les voie pas très bien. Il avait un grand chapeau genre haut de forme, enfin, c'était l'avis de Lucie, et, ce n'est pas pour être méchante, mais, même si elle assez intelligente, elle ne connaît pas grand chose aux styles de chapeaux. Ou même aux chapeaux tout courts. Il avait des traits fin. Cependant, même si on avait envie de lui rigoler au nez, avec le reflet blafard de la lune sur sa peau presque transparente, on n'avait plus envie de rire du tout. C'en était même légèrement inquiétant. Sortit de sa contemplation, notre petite fille préférée lança, méchante :
    « Pouvez-vous me dire, Monsieur, quel est la raison de nocturne -et bruyante- visite ?! Vous empêcher tout le voisinage, moi y compris, de dormir ! Je ne sas quel est votre métier, mais si il vous permet de vivre la nuit, tant mieux pour vous. Cependant, moi, je vais à l'école primaire toute la semaine, et le week-end est symbole de tranquillité et de repos pour moi. »
    Et, pour appuyer son opinion, Lucie tapa du pied rapidement, de la façon qu'on énerve vite les gens en général. Pourtant, ce garçon n'était pas les 'gens' en général ... Comment allait-il réagir ?


[J'espère que c'est mieux que la dernière fois ^^ & j'ai pas eu le temps de vérifier mes fautes, donc il risque d'y en avoir pas mal, j'ai pas le temps, ma mère veut que j'aille au lit --"]
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeMar 1 Juin - 21:45
    Booon… où en étais-je donc ? Ah oui, notre cinglé de Chapelier frappe comme un malade à la porte d’une maison, car il trouve un de ces pots de fleurs atrocement irritant. Ignore-t-il donc que c’est lui qui va paraître atrocement irritant ? A vrai dire, Oz s’en fiche royalement. Mais alors comme de ses premiers bavoirs. Il faut dire qu’Oz à une vision bien à lui de voir les choses… Une vision un peu « space »… Enfin bref, il semblerait que la porte va bientôt s’ouvrir…

    Oz commençait à avoir légèrement mal aux poignets. Juste un peu. Pas comme si il cognait comme un taré sur un dur panneau de bois (ou de je sais pas quoi de dur) depuis quelques minutes déjà. Bon, outre le fait qu’un bel et jouli hématome bleu allait bientôt se former sur sa jolie main gantée (peut-être qu’il s’était gentiment éclaté quelques vaisseaux sanguins au passage, ce qui allait faire coaguler le sang sous sa peau et… bon d’accord je m’éloigne.) mais il commençait à trouver le temps long. God ! Que faisais donc le propriétaire ?! Il dormait ou quoi ? (ahahaha… absolument désopilant).

    Au mais attendez… La porte s’ouvre !

    Oz regarda la porte s’ouvrir sur… rien. Le vide. Le néant. Que dalle.
    Maaaaaaaaaaaaaa.
    La porte s’était ouverte toute seule. Un étrange phénomène paranormal venait de se produire sous le regard d’Oz Fantasio (qui lui-même est un phénomène paranormal). God…
    Durant quelques minutes, Oz fixa… ce qu’il y avait en face de lui. C’est-à-dire un hall d’entrée. Passionnant. Ab-so-lu-ment pa-ssio-nant. Vraiment. Oz était subjugué par la beauté du mur en face de lui. Très joli mur…
    Soudain, sortant de nulle part, une voix de bébé s’exclama :

    « Pouvez-vous me dire, Monsieur, quelle est la raison de nocturne -et bruyante- visite ?! Vous empêcher tout le voisinage, moi y compris, de dormir ! Je ne sas quel est votre métier, mais si il vous permet de vivre la nuit, tant mieux pour vous. Cependant, moi, je vais à l'école primaire toute la semaine, et le week-end est symbole de tranquillité et de repos pour moi. »

    Gaaaaaa… God, une voix venait de sortir de nulle part. Oz jetait des regard partout, se demandant d’où provenait cette voix. Nota : Oz faisait en ce moment preuve d’une lucidité extraordinaire. Enfin, au moins, il n’était plus aussi moisi qu’un vieux morceau de croûton desséché, mais était plutôt requinqué.
    Revenons-en à cette voix. Droite : RàS. Gauche : RàS. Haut : RàS. Bas : PCAHNI (Initiales : Petite Chose Apparemment Humains Non Identifiée).
    Rapport : voix toujours non localisée.
    (Imaginez une petit lumière qui s’allume dans l’esprit de Oz).
    God ! Mais oui ! La PCAHNI ! C’est ça, la source de décibels que notre cher faucheur à naguère entendu !
    Oz baissa donc les yeux vers la PCAHNI. God, c’est petit ces machins !

    Donc, récapitulatif de la situation : la porte s’est ouverte sur une petite fille d’à peu près huit ans, que Oz à affectueusement surnommé PCAHNI.

    Oz se baissa pour être au niveau de la tête de la petite fille. God, c’est vraiment petit…
    Enfin, toujours est-il qu’il lui répondit, de son éternelle voix rêveuse :

    « Tu sais petite PCAHNI, ce n’est pas bien de gronder des adultes (adulte ?! Oz ?! Laissez moi rire…), surtout des adultes comme moi. Je peux être terrifiant tu sais (hum, moi j’en doute. Enfin si, genre dans le style zombi…) »

    Notre ami le faucheur avait parler à la petite fille comme à une… demeurée. Ou à un organisme uni cellulaire à qui notre langue serait étrangère. En effet, Oz avait bien haché ses mots, et bien aaaaaar-tiiiiii-cuuuu-leeer !
    Notre stupide et à côté de la plaque faucheur adoré poursuivit :

    « Il se trouve que ce pot de fleur rouge dans ce pot rose, là dans ton jardin (nota : aux yeux de tous le monde, c’est-à-dire des gens normaux, les fleurs sont roses, et le pot est rouge) est une véritable horreur. Voudrez-tu bien le changer ?, Oz marqua une pause avant de tapoter gentiment la tête de la petite fille en disant, tu as bien compris, petit organisme uni cellulaire ? »
    Il marqua la fin de sa phrase d’un gentil sourire confiant.

    En fait, l’organisme uni cellulaire, je pense plutôt que c’est Oz. Pas vous ? J’ignore même si dans son esprit dérangé il a reconnut sa PCAHNI, comme étant une petite fille. Je pense que oui, mais allez savoir ce que pense vraiment le cerveau de Fantasio…


[J'aime beaucoup <3 Et je vois que tu as lus mon physique xD]
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Lucie M. Winston Kylerman
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeLun 7 Juin - 15:01
S'avez-vous qui sont réellement vos proches ?
Qui étaient vos parents ?
    Une mère avocate et un père policier me dites-vous ? Si je dis ça à Lucie, elle va traduire par une maman faucheuse et par un papa hunter. Et oui, Lucie, c'est en partie ça. Ça, c'est cette imagination débordante qui est, me direz-vous, pas si anormale que ça pour une petite fille de sept ans. C'est plutôt exacte mais bon, combien d'enfants préfèrent les anges/démons/faucheurs/vampires/loups-garous (et autres créatures surnaturelles dont je tairai le nom), a des princesses/chevaliers et tout le tralala dont peuvent être fans de gentils petits enfants. Bref, je me suis légèrement éloignée de mon but.
    Lucie, de son nom complet Lucie Malween Alicia Winston Kylerman, ne connaissant pas le métier de sa mère, avait eu le temps, durant maintenant environ cinq-six ans, de s'imaginer toutes sortes de choses sur ce-dit métier. Souvent, elle avait aimé croire que sa mère était un ange. Cette pensée la réconfortait, même si Lucie aurait préféré que sa maman soit "normale" ; qu'elle soit avec elle tous les week-end et les jours de fête. Mais notre petite fille -j'espère, préférée- n'avait et n'a toujours pas le choix et, si sa maman avait un travail compliqué, Lucie devait être forte et montrer à sa maman a quel point cette dernière pouvait être fière de sa fille.
    Notre petite Lucie était désormais plus blasée que jamais pas sa petite vie tranquille et cherchait par-dessus tout à se faire de nouveaux amis. Enfin, "nouveaux", c'est vite dit. "Se faire des amis" tout court, aurait été plus correcte. C'est pour cela que, même si ce garçon était bizarre et littéralement insensé, Lucie était prête à l'aimer. C'est vrai, ce n'est pas comme ci il était venu en plein milieux de la nuit (enfin, minuit, ce n'est pas vraiment le milieu de la nuit, mais ça fait mieux de mettre ça, on va dire), habillé d'une façon [censuré par la production, pour cause de jugement inacceptable sur la personne de Monsieur Fantasio, de son prénom Oz], avec des cernes plus grosses que lui ; et ... Je vais m'arrêter là, sinon, ça risque de devenir trop longs et vous risqueriez d'être découragés. En résumé, vous n'auriez jamais laissé cet inconnu vous dressez la parole, je ne sais même si vous auriez pris la peine de lui accorder le moindre battement de cils. Cependant, comme je l'ai précisée plus haut, Lucie voulait à tout prix se faire des amis, ou au moins un ami. De plus, Oz était plutôt drôle ! Il était si bizarre ! Par bizarre, j'entend bien sur, sa façon de parler, et non de s'habiller, évidemment. Au début, quand elle avait ouvert la porte, il ne l'avait pas vu ; ensuite, il l'avait traitée de je ne sais quels mots, une chose faîte d'initiales, je crois que sa commençait par P. Oui, c'est ça, P pour Petite. Mais, qu'est-ce qu'il y avait, déjà, après P ? Ah oui, ça ma revient, c'est un C ! C pour Chose. Ce qui nous donne Petite Chose. Il me semble qu'il y avait H pour Horrifiante, mais le doute est là. Ce qui nous donne, si j'ai raison, Petite Chose Horrifiante. Avec les initiales juste : PCH. Le reste, ni Lucie, ni moi ne nous en souvenons. Mais la question n'est pas là, Lucie était aux anges ! Pourquoi ? Et bien parce que quelqu'un se donnait la peine de s'occuper d'elle, quelqu'un d'autre que sa gouvernante, aussi bizarre soit-il. Alors, sa colère oubliée, Lucie lui dit tranquillement, comme si elle n'avait jamais entendu la remarque à propos du pot de fleurs :

    " Repartons du début, voulez-vous ? "

    Et, sans attendre sa réponse, elle referma sa porte et l'a rouvrit rapidement, de peur que l'IFA (Inconnu et Futur Ami) parte. Heureusement, il était toujours là. Avait-il, même légèrement bougé ? Lucie en doutait, plus occupée par son envie pressante de se faire un ami, là, tout de suite. Elle lança, soudain pleine d'entrain :

    " Bonjour Monsieur, je m'appelle Lucie Malween Alicia Winston Kylerman, j'ai sept ans, j'ai perdu 5 de mes dents de laits et je suis née le vingt-quatre décembre deux mille trois à Seattle, je faisais cinquante trois centimètre et pesais deux kilogrammes cinq cents. Et vous, comment vous appelez-vous ? Vous avez quel âge ? Avez-vous perdu toutes vos dents (de laits, bien sur) ? Où et quand êtes vous né ? Vous faisiez quelle taille ? Vous pesiez quel poids ?

    Le temps de reprendre son souffle, car, bien sur, elle avait déblatéré ceci en quelques secondes et elle reprit, tout en poussant l'IFA dans sa villa :

    "Venez, entrez- et asseyez-vous ! Je vais nous préparez du thé mais, en attendant, asseyez vous et mettez vous à l'aise.

    Lucie entreprit ensuite d'appuyer fort sur les épaules de l'IFA, pour le forcer à s'asseoir. Mais avant de partir, elle s'essaya à son tour et rajouta :

    Vous savez, je ne voudrais pas être méchante mais c'est mal polie de ne pas répondre aux questions que les gens vous posent !

    Et c'est à se moment là qu'elle se mit en tête de ne partir que lorsqu'il aurait répondu à toutes les questions qu'elle lui avait posé.


[désolée pour l'attente et un peu pour la qualité et j'ai eu un 'blème avec les guillemets, sorry ^^]
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Lucie M. Winston Kylerman
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeLun 19 Juil - 2:34
    UP Wink
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeMar 10 Aoû - 21:07
Oz ?? Up =)
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Lucie M. Winston Kylerman
Omnia non vincit amor at Conor ejus credo
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitimeLun 30 Aoû - 18:32
RP abandonné d'un commun accord. Je verrouille
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MessageSujet: Re: The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné]   The coldness of the night [PV : Oz Fantasio] [Abandonné] Icon_minitime
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