『First Who : General Informations』
■ NOM : Ellyn
■ PRENOM : Susan Violet Catherine Mary
■ SURNOM : Susy ou Suse
■ ÂGE : 17 ans en apparence, 580 ans en réalité
■ SEXE : Fille
■ DATE & LIEU DE NAISSANCE : 1430 à Londres
『Second Who : Officialdom 』
■ GROUPE : Faucheuse
■ RANG de formalité : Je peux être intendante ?
■ RANG personnalisé :
Mistress of your soul■ ESPACE PERSONNEL : Le Ministery et un appartement dans le quartier résidentiel
■ FAMILLE : Susan est l'aînée de sa famille. Seule sa mère, Mary, est une faucheuse. Son père, Charles, a toujours ignoré ce qu'était sa femme et ses filles. Sa soeur est une faucheuse aussi même si elle ne l'a plus vu depuis une bonne centaine d'année. Elle avait un petit frère mais celui-ci n’était pas faucheur.
■ METIER/ETUDES : Lycéenne
『Third Who : Hunting Attributes』
■ ARMES : Susan porte toujours sur elle un poignard incrusté de pierres précieuses datant de sa naissance. Elle lui a toujours servi de faux. Quand la mode était encore aux robes longues et aux jupons elle le mettait contre sa cuisse mais maintenant elle le cache tant bien que mal suivant sa manière de s’habiller.
『Fourth Who : Small Particularities』
■ SIGNES PARTICULIERS : Susan est polyglotte : elle a arrêté de compter le nombre de langue qu’elle parle, suite à ses différents, et nombreux, voyages. Grâce à cela, elle a une facilité incroyable pour apprendre une langue étrangère qu’elle ne connaît pas encore.
『Fifth Who : A Few More Of Specifics』
■ CARACTERE : Susan est souriante, c’est la première chose que remarque les gens quand ils la croisent. Ce sourire met tout de suite les autres en confiance, ne se doutant pas une seconde que si Susy est là ce n’est pas juste pour leur sourire mais plutôt pour accomplir son travail. Une manière d’être qui s’est avérait être un véritable avantage donc. Susan est aussi polie et respectueuse surtout envers ses aînés. Cela peut paraître légèrement dépassé aux yeux des autres adolescents qui la côtoient mais dans l’Angleterre du 15e siècle où elle a grandit les jeunes filles devaient toujours être ainsi surtout envers les hommes. Elle est par contre capricieuse, vestige de sa vie de fille aînée d’une famille de riches seigneurs. On lui passait tous ses caprices et tous ses désirs, histoire de composer les inconvénients de sa situation. Susan était douce et gentille, la parfaite petite femme docile. Mais voila après plus de 500 ans d’existence, elle a changé, s’est forgée un caractère et une carapace à l’épreuve de toutes les peines et de toutes les souffrances. En effet car avec autant d’année derrière soi on a forcément vécu et vu des choses pas très joyeuses, et elle a donc perdu ce côté naïf d’elle et même si elle est toujours agréable avec les gens qu’elle connaît, Suse peut s’avérer très irritable et colérique voire parfois même complètement incontrôlable.
Certains de ses « amis » humains du lycée pourraient vous dire qu’elle n’est jamais triste et qu’elle n’est jamais en colère mais c’est faux, elle a juste appris et pris l’habitude de contrôler ses sentiments ne souhaitant pas montrer ses faiblesses devant des humains dont elle s’occupera peut être plus tard quand cela sera leur heure de mourir. Susan n’a jamais trouvé bizarre d’être une faucheuse, cela ne l’a jamais perturbé de prendre l’âme d’un humain, attention elle n’est pas sadique mais elle trouve ça naturelle ayant toujours était comme ça et surtout ayant toujours fait ça. La jeune femme est finalement quelqu’un de solitaire ne voulant pas créer des liens avec des humains sachant qu’ils vont mourir alors que elle est éternelle. Elle ne veut pas souffrir comme c’était le cas avec sa famille. Bien sur elle a des relations avec d’autres faucheurs et quelques fois avec des vampires, encore faut il qu’ils soient végétariens, comme elle ne supporte pas les sanguinaires qui apportent aux faucheurs un surplus de travail considérable. En tout cas elle s’est promise de ne jamais refaire l’erreur de sa mère, c'est-à-dire tomber amoureuse d’un humain.
■ PHYSIQUE : Susan ressemble à toutes les jeunes filles qui ont le même âge qu’elle, si elle peut s’exprimer ainsi. Elle ne se trouve pas particulièrement belle même si les hommes ont tendance à tourner autour d’elle. Elle a des longs cheveux noirs, héritage de sa mère qui est d’origine espagnole, qu’elle coiffe selon ses humeurs. Ses cheveux ont tour à tour étaient bouclés, coupés au carré, puis pour le moment lisse. Elle a la peau légèrement mat ce qui la rendait incroyablement désirable pendant le 15e siècle. Maintenant beaucoup de personne sont issu de l’immigration et elle n’est plus autant repérée. Ses yeux en amande sont marrons chocolats mais deviennent plus foncés quand elle est énervé. Susan est légèrement plus petite que ses camarades de classe et est très fluette. Quand on la voit on ne pourrait pas un instant croire l’endurance et la puissance qu’elle possède. Niveau vestimentaire, elle s’habitue à la mode du moment, elle est donc passée des robes de la renaissance à jupons, frous-frous et en soie aux robes moins imposantes puis aux chemisiers et jupes. Elle a vécu la révolution et le changement de mentalité des femmes et l’invention des minijupes et tout ce qui s’en suit. Son placard ressemble donc à celui d’une adolescente banale même si Susan a un peu du mal à se faire aux jeans. Elle a également pris l’habitude de se maquiller, chose également nouvelle pour elle, avec une touche de gloss sur les lèvres et du crayon noir ainsi que du mascara pour rehausser ses yeux. Enfin tous ça se sont des détails, disons juste qu’elle essaye de s’habituer tant bien que mal aux us et coutumes de ce monde qui ne fait que de changer et d’évoluer.
『Sixth Who : The Deepest Truth』
■ HISTOIRE :
La jeune femme regarde la Mort en face d’elle, elle sait qu’elle va mourir car l’adolescente a sorti un joli petit poignard. La mourante regarde droit dans les yeux de la faucheuse, elle ne va pas crier, non, elle ne veut qu’une chose. Savoir à qui appartient la main qui va la frapper. Elle en informe sa visiteuse même si la future morte a peu d’espoir d’avoir une réponse. Pourtant son étrange invitée soupire et se dirige vers le canapé du petit appartement. Apparemment elle accepte de lui faire cette faveur.
Mon histoire commença avant même que je naisse, en effet mon père étant un des conseillers proches du Roi et donc un homme important du royaume. Il avait préparé pour son futur enfant une vie parfaite, si cela avait été un garçon il l’aurait éduqué pour qu’il soit l’héritier de ses terres, et si c’était une fille il la préparerait à être une femme au foyer et une mère parfaite honorant sa famille. Bien sur, lui espérait secrètement que sa femme mettrait au monde un garçon, comme tout bon noble qui se respectait à cette époque ci.
Vous me regardez étrangement, vous vous demandez sûrement qu’elle ait cette époque. Je suis née en automne de l’année 1430. Ne faites pas cette tête là, c’est vous qui avez demandé mon histoire. Bon, je continue. Cependant, à ma naissance, mon père ne fut pas déçu d’avoir eu une fille, étant plus qu’heureux que sa femme et son bébé fussent en bonne santé. Mon enfance ne fut pas de tout repos, je devais apprendre les règles de la cour, les danses à la mode, la manière de tenir une maison, et des trucs portants sur un sujet tout à fait différent mais j’en parlerais plus tard… Enfin bref toutes les choses qui me serait utiles pour le reste de ma vie. Pendant cette période je vis peu mon père, il était très occupé par les affaires d’Etat et il lui arrivait de ne pas rentrée pendant plusieurs dans notre domaine. Mais je savais qu’il m’aimait, ainsi que ma mère, j’étais son seul enfant comme il savait si bien me le dire. Trois ans passèrent avant que Lady Mary Alice Ellyn, ma mère, ne mette au monde une seconde fille. Vous n’imaginez pas à quel point j’étais heureuse d’avoir une partenaire de jeux, d’études et une confidente. Je n’étais plus une enfant unique et seule cela m’importait. J’étais bien insouciante et futile me préoccupant plus de quelles robes porter plutôt que des guerres ou de toutes autres affaires. Puis un jour ma mère commença à me parler de la mort et plus précisément de ceux qui devaient s’occuper des âmes des humains mourants, les faucheurs. Elle m’expliqua en quoi consister exactement leur activité puis finit par m’avouer qu’elle en était une, quand elle jugea que j’étais assez âgée pour comprendre et surtout ne rien à mon père qui l’ignorait et qui n’était qu’un humain. Je compris que si elle me révélait tout ça, c’était parce que j’en étais moi-même une. Un an après la naissance de ma chère sœur, Mary fut de nouveau enceinte et donna, enfin, un héritier à la noble famille Ellyn, pour le plus grand bonheur de mon paternel d’ailleurs.
Les années passèrent rapidement dans les cris et parfois dans la joie parfois dans la tristesse. Puis arriva l’année de mes treize ans, et des 10 ans de Katherine, ma sœur. Oui j’ai oublié de vous le dire, ma petite sœur est aussi une faucheuse. Donc cette année là, ma mère décréta qu’elle nous en avait appris assez sur son « métier » pour nous emmener avec elle faucher une âme. Je vous passe les détails, mais ça a été un moment qui a vraiment changé mon existence, je me rendais enfin compte de l’ampleur de ma tâche. On obtint également notre faux de la mort pendant cette même année. Le mien, c’est le poignard que vous avez vu, il a été fabriqué pour ma naissance. Cependant nous avons fauché nos premières âmes bien plus tard. Un an après ses événements, je fus fiancée à un éminent fils de comte de dix ans mon aîné, un homme que je ne connaissais absolument pas et que je devais voir que le jour de mon mariage. Vous êtes peut être choquée mais s’était ainsi que l’on procédait en ces temps là. J’étais donc devenue Lady Susan Violet Catherine Mary Ellyn, future comtesse du Kent. Notre union aurait du avoir lieu à mes seize ans, mais il ne fut jamais célébré car mon fiancé fut ma première âme. Et je peux vous dire qu’une fois avoir vu sa vie j’étais bien contente de ne pas devoir l’épouser, il s’avérait être un vrai criminel, il eu droit à un allée simple pour l’Enfer. Enfin bref, une nouvelle fois je vous passe les détails.
La vie continua dans les intrigues de la cour et des affaires de l’Etat anglais. Mes parents me passaient tous mes caprices et ils étaient particulièrement fiers de moi. D’ailleurs ils demandaient sans cesse à ma petite sœur de me ressembler et depuis ce temps elle a développé une vieille jalousie envers moi.
Vous vous demandez peut être pourquoi je ne parle pas de mon frère, en fait c’est un sujet douloureux, en effet il n’était pas un faucheur et donc pas immortel. Vous vous demandez peut être aussi comment ma mère a su que ses deux filles étaient des faucheuses et pas son fils mais je n’en sais rien, je lui ai posé la question, elle m’a dit que je saurais quand je serais mère à mon tour.Enfin je m’égare. Un jour, pendant l’année de mes 17 ans, je fus appelée dans la chambre de mon père, mon père que j’aimais tant. Celui-ci m’informa qu’il avait contracté une grave maladie, maladie sur laquelle on ignorait tous des traitements. En clair, il allait mourir. J’étais totalement anéantie. Mais le pire n’était pas encore arrivé, en effet j’appris que ce serait moi qui devais prendre sa pauvre âme. Je ne vous dirais comment je l’ai appris, secret de faucheur. Cela m’a tellement rendu triste que j’ai décidé d’arrêter de vieillir à cet âge là. D’autant plus que ma mère l’apprit, je ne vous fais pas de dessin pour vous décrire nos relations, les 500 années qui suivirent.
Depuis ce jour là, je partis en vadrouille, voyageant dans plusieurs pays différent. Essayant d’être présente pour chaque événement important. Par exemple je me trouvais en France lors de leur révolution, puis aux Etats-Unis pendant la guerre de Sécession et ainsi de suite, je ne pas vécu des choses très marrantes mais mes camarades faucheurs avaient besoin de mon aide. Le pire fut la seconde guerre mondiale et les camps de concentration, j’étais infirmière dans l’un d’eux. Enfin je crois que vous voyez ce que je veux dire.
Il y a à peu près 80 ans, je revins en Angleterre cherchant un endroit où rester. J’arrivais dans cette petite ville, Resway, et découvrais que l’on avait créé là un ministère pour nous, les faucheurs, dirigeait par un intendant. Peu de temps après mon arrivée, une révolte de recalés se déclencha et ils arrivèrent à détruire le chef et le coadjuteur qui était en place, chose pas facile du tout, je vous le précise. Je pris la tête des faucheurs restant et à nous tous on arriva à mater les rebelles. En remerciement j’ai été nommé Intendante à la place de l’ancien. Voila, voila à qui appartient la main qui va prendre votre âme.
Susan regarde l’humaine avec un petit sourire, elle sait qu’une question lui brûle les lèvres mais la faucheuse ne lui répondra pas. D’ailleurs elle n’attend même pas que sa victime se remette de son histoire et regarde sa vie. Bien, se sera donc le Paradis pour cette humaine trop curieuse. Susan lève son poignard, elle ne va pas la faire souffrir, non elle la même un peu apprécié celle là.
■ LIEN(S) :
Lady Mary Alice Ellyn : C’est sa mère et elle est également faucheuse. Quand Susan était plus jeune les deux femmes s’entendaient plutôt bien mais après la mort de son époux Mary n’a plus voulu entendre parler de sa fille. En effet celle-ci a appris que c’était Susan qui avait fauché l’âme du mourant. Une chose inadmissible pour la mère même si elle savait que sa fille n’avait pas le choix. Elles se sont reparlées depuis et se voient de temps en temps mais les conversations sont encore un peu tendues bien que plus de 500 ans ont passé depuis les faits.
Katherine Samantha Ellyn : Kate est la petite sœur de Susan. Elle est aussi faucheuse. Elles s’entendent bien toutes les deux même si Katherine a toujours ressentie une forte jalousie envers sa sœur aînée car on lui disait toujours de la prendre pour modèle. Kate est partie de son côté en voyage et elle n’a plus revue ni sa sœur ni sa mère depuis plus de cent ans. Elle envisage de revenir les voir très bientôt.
Tomas Princston : Tomas est un étudiant venu à Resway seulement pour ses études. Il a rencontré Susan par le programme de tutorat de l’université. Ce programme consiste à préparer des élèves de terminal pour l’entrée à l’université. Il a un faible pour Susan même si il est intrigué par elle. En effet il est féru d’histoire et possède l’arbre généalogique de sa famille, or la sœur de l’un de ses ancêtres porte exactement les mêmes nom et prénom que Susy. Il se pose donc des questions même si il est loin de la vérité. Susan a du mal à rester éloigner du jeune homme et a fait une entorse à son règlement en acceptant d’être son ami pourtant cela ne lui semble pas suffisant.
Les vampires sanguinaires : Susan ne peut pas les supporter car ils ne cessent de tuer des humains et elle a beaucoup de travail en plus à cause de cela.
Sinon, Susan s’entend bien avec les vampires végétariens, les humains (quand elle ne vient pas les voir que pour prendre leur âme) et les autres faucheurs.
『The Last Who : The Real Yourself』
|| Votre Pseudo : Lalymi, ou Maë
|| Votre âge : 14 ans
|| Êtes vous un garçon ou une fille ? une fille
|| Combien de fois venez-vous par semaine ? 6/7
|| Comment avez-vous découvert ce forum ? Par partenariat
|| Votre niveau d'activité [sur le forum] sur une échelle de 1 à 10 : 8 / 10
|| Exemple de RP :
- Spoiler:
Susan soupira en regardant la liste sur le Carnet. Elle ne cessait de s’allonger depuis plusieurs centaines d’année et les faucheurs n’avaient plus une minute à eux. Bien sur, Susy n’ignorait pas la cause de ce phénomène : les vampires. En effet ils avaient considérablement augmentées depuis le dernier siècle et Susan n’avait plus vu une telle affluence dans la salle d’attente mortuaire depuis la fin des deux guerres mondiales. Elle soupira et reposa le Carnet pour s’attaquer aux dossiers que le Coadjuteur avait posé sur son bureau. Le premier qu’elle prit contenait un rapport et un article de journal sur la mort suspecte d’une jeune femme d’une vingtaine d’année. Elle regarda en premier lieu la conclusion des policiers humains sur le crime puis fronça les sourcils quand elle lut les inscriptions manuscrites de son second. Un faucheur qui était tombé amoureux d’une humaine et qui avait fini par la tuer quand celle-ci l’avait repoussé. Il avait précisé en soulignant que la victime ne faisait absolument pas partie de la longue liste. Le document se terminait avec une demande de signature qui approuvait la peine du tueur. En l’occurrence, la mort. L’intendante soupira de nouveau, avant de prendre un stylo et de signer le papier.
Elle déposa la pochette contenant la sentence sur la pile des dossiers complets et jeta un coup d’œil aux suivants. Deux portaient sur des fautes moins importantes de fonctionnaires et bien qu’ils méritaient d’être recalés, elle regretta presque de devoir signer les documents en question car avec le nombre d’humains dans la salle d’attente et dans la liste qui augmentaient si elle n’arrêtait pas de tuer ou de recaler tous ses faucheurs ils n’allaient jamais s’en sortir. Surtout que chacun devaient jouer la mascarade qui lui servait de vie. C’aurait été trop étrange que des gens vivent dans la ville mais ne travaillent pas ou ne suivent pas d’étude. Du coup Susan faisait des heures supplémentaires après son travail au Ministery et ses cours aux lycées, et essayait de diminuer le plus possible l’attente de ceux qui étaient déjà mort ou d’épurer le plus possible la liste du Carnet.
Elle arriva enfin à la paperasse qu’elle trouva la plus intéressante après lecture. Apparemment on n’avait pas pu déterminer où envoyer un humain. Il avait commis autant de péchés que de bonnes actions et ni l’Enfer ni le Paradis ne lui convenaient. La faucheuse s’étant occupée de lui avait donc décidé de le faire faucheur lui aussi. Un cas d’école qui n’était plus arrivé depuis 1743 d’après la mémoire infaillible de Suse. Bien, la routine allait un peu changer et puis pour une fois elle n’aurait pas à expliquer les règles à un camarade qui avait déjà fauché des vies auparavant. Elle était même presque impatiente de voir comment allait réagir l’humain enfin le nouveau fonctionnaire face à sa nouvelle tâche. Elle se leva du fauteuil très confortable dans lequel elle avait investi et se dirigea vers la sortie de la pièce après avoir jeté un dernier regard lui servait de bureau.
En rentrant dans cette salle on aurait presque pu croire quand l’on avait rendez vous avec le doyen d’une université quelconque. Sauf que dans le bureau du doyen, il n’y avait un mur de dessin et de photo représentant son occupant. En effet cela avait été le petit plaisir de Susan, voir l’évolution de la mode, des humains et d’elle-même dans le temps. Des dossiers remplis de l’évolution des différents fonctionnaires couvraient les habituelles bibliothèques. Dans un coin à côté de la porte se tenait une vitrine des faux des êtres que l’on avait réussi à tuer. Bien qu’elle ne soit presque pas remplie, Susy aimait à regarder cette vitrine d’armes anciennes qui lui rappelait qu’elle n’était pas invincible et pas infaillible. En passant elle posa la main sur le dernier ajout de ses reliques, celle de l’ancien intendant. Susan aimait beaucoup son bureau qui était agréable et sérieux exactement comme elle l’avait voulu. Elle passa enfin la porte pour aller discuter un peu avec son nouveau faucheur.
|| Avez-vous lu le règlement ? Oui
|| Code :
- Spoiler:
Ok by Elizabeth